Sur la terre dévastée par toutes les calamités que les prophètes de malheur nous avaient pourtant annoncées, des groupes d’humains se réinventent un mode de vie à même les débris du passé.
Deux jeunes gens partent à l’aventure pour explorer la variété des solutions adoptées par chacun. Chemin faisant, ils font des rencontres tantôt surprenantes, tantôt inquiétantes ou émouvantes.
Le lecteur constate que « plus ça change, plus c’est pareil ».
Nos jeunes voyageurs voudraient bien aider leurs semblables à éviter les erreurs de leurs pères, avec des résultats discutables sinon catastrophiques.
Une fable morale pour ceux qui se demandent où s’en va le monde…
Partout on nous parle des changements climatiques, de l’épuisement du pétrole et des nappes phréatiques, de la fin de la croissance économique et de l’effondrement du système capitaliste, des risques de pandémie, de la surpopulation qui nous guette, des guerres mondiales à venir ou déjà commencées, de l’holocauste nucléaire qui ne manquerait pas de se produire…
Plusieurs ouvrages se consacrent à évaluer les effets de chacun de ces facteurs de risque. Personne ne s’aventure cependant à imaginer ce qui résulterait de tous ces dangers, s’ils agissaient de concert, en interaction les uns avec les autres. Dans ce roman, j’ai essayé de brosser un tableau de ce que ça pourrait donner. Ce n’est pas très scientifique, bien sûr, et nul ne peut prédire le futur de façon certaine au-delà d’un horizon rapproché — et encore! Mais ce n’est guère rassurant. Ce récit imaginaire — cette fable — est pourtant basée sur une étude bien documentée de l’évolution présente de notre monde. Dans la post-face, je tente de démontrer les fondements de la prospective qui sert d’assise à ce roman.
J’ai écrit cette histoire pour moi-même d’abord, juste pour voir, comme on fait un croquis d’un projet pour se faire une idée de ce que ça donnera. Puis j’ai pensé que ça valait d’être communiqué à d’autres qui se posent le même genre de questions.
Aucun des nombreux éditeurs auxquels j’ai soumis le manuscrit n’a partagé mon idée, je n’ai collectionné que des refus. J’ai donc résolu de diffuser ce texte via internet, par le site www.lulu.com, qui permet de faire de l’autoédition accessible à tous. Le lecteur intéressé pourra y acheter une copie imprimée du livre ou encore, télécharger une copie gratuite en format PDF, qu’il pourra lire à son aise sur son écran d’ordinateur ou sur sa liseuse électronique.
(Sur le site de Lulu, entrez le nom de l’auteur – «Belpaire» – dans le champ de recherche et poursuivez selon les instructions)